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Signature d'un partenariat avec l'Institut National des Jeunes Aveugles (INJA)

Consultation d'ophtalmologie
Un partenariat pour fluidifier le parcours de vie de jeunes déficients visuels, de la prise en charge médicale à la scolarisation.
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  • La signature de ce nouveau partenariat formalise des liens préexistants entre le département d’ophtalmologie de l’Hôpital Fondation Rothschild et les équipes pédagogiques de l’INJA. À partir du 1er janvier 2021, les élèves de l’INJA bénéficieront au sein de leur école de deux ½ journées de consultation réalisées par des ophtalmologues de l’Hôpital Fondation Rothschild. Quant aux enfants pris en charge par l’Hôpital, ils pourront, dès le diagnostic posé, être guidés vers le service d’aide de l’INJA pour être informés sur les différentes options d’accueil, de formation et d’insertion.  

    Au sein du service d’aide aux familles de l’INJA, l’équipe médicale en place pourra désormais s’appuyer sur deux ophtalmologues de l’Hôpital Fondation Rothschild. Ils assureront notamment des missions de suivi individualisé de chaque enfant, d’information et de formations des familles et de l’équipe pédagogique ; de conseils et de relai avec les correspondants médicaux, de la petite enfance (PMI, IME...) ou administratifs (MDPH).  Pour l’Hôpital Fondation Rothschild, ce partenariat avec l’INJA apporte une aide et un soutien aux enfants et familles devant faire face à un diagnostic de malvoyance sévère voire de cécité, et d’intégrer pleinement l’équipe médicale dans le parcours de vie du patient.

    Cette convention prévoit également le développement conjoint de programmes de recherche, de formations professionnelles et d’actions de sensibilisation des pouvoirs publics, des entreprises, et du grand public ainsi que la réponse commune à des appels d’offres publics et/ou associatifs.
     

    Communiqué de presse : Hôpital Fondation Rothschild - Institut National des Jeunes Aveugles (INJA) Un partenariat pour fluidifier le parcours de vie de jeunes déficients visuels, de la prise en charge médicale à la scolarisation.

    Contacts Presse

    Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild    
    Emmanuelle Le Roy
    Tel : 01 48 03 67 51                          

    LJ Communication           
    Maryam De Kuyper - Anne-Laure Brisseau 
    Tel : 01 45 03 89 94 - 01 45 03 50 36

    La RAAC démarre en neurochirurgie à l’Hôpital Fondation Rothschild !

    Accueil du patient en Récupération Améliorée Après Chirurgie
    La période post-opératoire est un moment parfois difficile pour les patients, surtout après une opération lourde. À l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild, les équipes soignantes, toujours soucieuses du bien-être des patients, innovent en permanence pour faciliter les suites post opératoires et permettre de réduire la durée d’hospitalisation.
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  • Neurochirurgie adultes
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  • La Réhabilitation Améliorée Après Chirurgie (RAAC) est une nouvelle modalité de prise en charge des patients bénéficiant d'intervention de chirurgie complexe, comme c'est le cas en neurochirurgie. Ce principe vise à mieux pressentir les problèmes pouvant survenir au cours de la récupération afin de pouvoir les anticiper et les traiter. Elle procède par étapes, tout au long du parcours-patient : avant, pendant et après l'hospitalisation.

    Pilotée par le Dr Antoine Kourilsky, Neurochirurgien à l’Hôpital Fondation Rothschild, l’équipe RAAC est coordonnée par une infirmière coordinatrice RAAC, qui accompagne le patient sur l'ensemble de son parcours, dans sa partie hospitalière mais aussi en dehors de l'hôpital. La RAAC s’appuie sur les travaux du Dr. Henrik Kehlet, chirurgien digestif danois, ayant démontré dès 1997 une réduction de la morbi-mortalité des patients opérés de chirurgies digestives lorsqu’étaient pris en compte l’ensemble des freins potentiels à leur réhabilitation.

    Les 3 étapes du programme RAAC en chirurgie du rachis :

    Étape 1. Avant l’opération. 

    La préparation physique et psychologique du patient à sa chirurgie est un élément crucial de sa bonne récupération ultérieure. Pour ce faire, plusieurs semaines avant l’opération, un patient sera adressé, en fonction de ses besoins, aux professionnels de santé adaptés pour, par exemple, faciliter son sevrage tabagique, sa perte de poids, la gestion de sa peur de faire un geste douloureux (appelée kinésiophobie) ou encore son réentrainement à l'effort.

    Autre élément de la préparation du patient à sa chirurgie : l’éducation thérapeutique. C’est un élément fondamental que nous avons choisi de formaliser sous la forme d’une Hospitalisation de Jour (HDJ).  Après avoir été évalué par l’anesthésiste en vue de sa chirurgie, le patient est ensuite reçu par un kinésithérapeute, qui là aussi réalisera un bilan fonctionnel complet permettant de suivre sa progression en post opératoire. Il lui prodiguera des conseils personnalisés d’hygiène de vie à mettre en œuvre au quotidien.

    Le patient est ensuite reçu par l’infirmière coordinatrice RAAC lors d’une consultation dédiée. Elle prépare le patient à l’intervention par le biais d’une éducation thérapeutique spécifique et lui fixe des objectifs. Elle lui explique en détails son parcours, des jours qui précèdent l’intervention jusqu’à la consultation de contrôle avec le chirurgien.

    L’HDJ RAAC de préparation à la chirurgie se termine alors par un travail de synthèse, réalisé par le neurochirurgien référent du patient en collaboration avec l’infirmière coordinatrice et formalisé sous la forme d’une lettre de liaison envoyée au patient et aux correspondants médicaux. Elle confirme que le patient est bien en mesure de rentrer dans un parcours de soin RAAC et que les mesures d’optimisation et d’éducation thérapeutique ont bien été réalisées.

    Étape 2. Pendant l'hospitalisation

    L'objectif est de tout mettre en œuvre pour atténuer les facteurs de stress physique et psychologique liés à l’intervention chirurgicale et à l'anesthésie.

    Avant l’intervention, le jeûne préopératoire est limité à son minimum afin de restreindre les symptômes d’inconfort qu’il peut entraîner. Une boisson énergisante est par ailleurs donnée quelques heures avant le bloc et une collation est offerte au patient dès son réveil. Les tuyaux (perfusions, sondes urinaires etc.) ne sont plus systématiques et leur retrait, en fin d'intervention, doit être réalisé le plus précocement possible afin de faciliter le retour à l’autonomie du patient.

    Pendant l’intervention, les neurochirurgiens du service privilégient, chaque fois que cela est possible, les chirurgies mini-invasives qui visent à opérer à travers de petites incisions.

    Après l’intervention, le premier lever se fait le plus souvent dès le jour de l'intervention ce qui permet d’enlever un certain nombre de restrictions liées à l’attente de ce premier lever et permettre ainsi la prise du dîner au fauteuil, l’accès aux sanitaires etc. L'infirmière coordinatrice RAAC voit le patient en chambre, et discute avec lui des objectifs fixés en préopératoire. Elle analyse avec lui les raisons qui ont pu conduire à un obstacle à la récupération.

    Toutes ces mesures ont pour objectif de permettre au patient de sortir de l’hôpital dans les meilleures conditions possibles afin qu’il retrouve rapidement son cadre de vie et qu’il puisse réaliser sa rééducation en condition de vie réelle. 

    Etape 3. En post-hospitalisation

    application Mon Hospi

    Dans la majorité des cas, le patient retourne à son domicile. Des aides peuvent lui être apportées, notamment par le dispositif de l’Assurance-Maladie PRADO qui met tout en œuvre pour trouver le personnel soignant nécessaire au retour à domicile du patient.
    A la différence de l’hospitalisation conventionnelle, une fois le patient rentré à domicile, il bénéficie désormais d'un suivi rapproché qui sécurise sa sortie. L’infirmière coordinatrice RAAC est son contact privilégié jusqu'à la consultation de contrôle avec le chirurgien. 

    Le suivi est réalisé via une application de télémédecine sécurisée « Mon Hospi » (technologie e-fitback). Cette application peut être remplie au choix, soit par le patient lui-même avec télétransmission de photos de cicatrices et de réponses à des questionnaires, soit par l'infirmière coordinatrice RAAC qui appelle le patient pour s'assurer de la bonne évolution de sa récupération.

    Dr Caroline Le Guérinel, Chef de service neurochirurgie Hôpital Fondation Rothschild

    « Ce projet de Récupération Améliorée Après Chirurgie en chirurgie du rachis est avant tout un projet d’établissement. Il concernera à moyen terme l’ensemble des patients opérés de chirurgie du rachis et à long terme a pour vocation à s’étendre à l’ensemble de la neurochirurgie ainsi qu’à d’autres spécialités de l’Hôpital Fondation Rothschild. Il est associé à différents projets de recherche en soins courants portant entre autre sur la lutte contre la kinésiophobie et la prévention des complications de cicatrisation, projets impliquant notre équipe médicale certes, mais aussi et surtout paramédicale (infirmière et kinésithérapeute) »

    Chef de service neurochirurgie

    La transplantation hépatique : traitement de dernier recours dans la maladie de Wilson ?

    Logo centre de référence maladie de Wilson
    Neurology Journal publie les résultats d’une étude menée sur 5 ans auprès de 18 jeunes patients
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  • Portée par le Centre de Référence Maladies Rares (CRMR) de la maladie de Wilson situé à l’Hôpital Fondation Rothschild, cette étude collaborative menée principalement avec les équipes de neurologie de l’hôpital Lariboisière, AP-HP, d’hépatologie et de transplantation hépatique des hôpitaux Paul Brousse et Bicêtre, AP-HP, démontre l’efficacité et aussi les limites de la transplantation hépatique pour des patients neurologiques extrêmement sévères.

    Avec environ 1000 patients touchés en France, la maladie de Wilson est une maladie génétique rare. Cette affection qui se révèle dans l’enfance ou chez l’adulte jeune entraîne une accumulation de cuivre dans le foie, mais aussi dans plus de 40 % des cas dans l’œil et le cerveau. Depuis les années 80, les chélateurs du cuivre pris quotidiennement et à vie ont transformé le pronostic des patients mais, dans certains cas d’insuffisance hépatique grave, le recours à une transplantation hépatique peut être nécessaire. 

    20 % des patients avec atteinte neurologique en début de maladie présentent une aggravation des symptômes qui peut conduire à un handicap neurologique très important malgré la mise en place des traitements médicaux habituels. Face à ces situations neurologiques catastrophiques marquées par une pharmaco résistance inexpliquée, se pose la question de la transplantation hépatique pour essayer d’arrêter l’aggravation de la maladie neurologique et permettre une récupération fonctionnelle.

    Pour tenter de répondre à cette question, le centre de référence de la  maladie de Wilson et autres maladies rares liées au cuivre, sous la coordination du Dr Aurélia Poujois, neurologue, a conduit une étude collaborative ambispective avec les équipes de neurologie de l’hôpital Lariboisière AP-HP, d’hépatologie et de transplantation hépatique des hôpitaux Paul Brousse et Bicêtre AP-HP et également avec les équipes multidisciplinaires de Bordeaux, des Hospices civils de Lyon, de Besançon et de Tours, afin d’étudier l’efficacité de la transplantation hépatique comme traitement de dernier recours pour les patients neurologiques extrêmement sévères qui n’avaient aucune amélioration sous traitements chélateurs habituels.

    Une cohorte de 18 patients (âge moyen 18 ans) présentant une atteinte neurologique sévère les confinant au lit avec une dépendance totale, ont pu être greffés entre 1994 et 2016. Tous les patients ont eu une évaluation clinique, radiologique et biologique de leur état neurologique et hépatique par les équipes expertes de la maladie de Wilson, avant la greffe et régulièrement ensuite après la greffe, avec des scores d’évaluation dédiés.

    Après plus de 5 ans de suivi, les auteurs ont montré que la survie était de 72,2%, les décès survenant essentiellement dans la première année suite à un sepsis. Au dernier suivi, 14 patients étaient en vie avec une amélioration significative de leur état pour la majorité d’entre eux : 8 avaient une amélioration neurologique majeure leur permettant de pouvoir remarcher et d’être autonome dans leur vie quotidienne, 4 avaient une amélioration modérée mais avec une reprise de leur autonomie et 2 étaient stables. L’ensemble des marqueurs biologiques, IRM cérébrales et ophtalmologiques se sont améliorés. Cette étude a aussi permis de montrer que la présence d’une infection ou d’un passage en réanimation étaient des éléments de mauvais pronostics qui devaient contre-indiquer la transplantation hépatique dans ces situations neurologiques gravissimes.

    Dr Aurélia Poujois

    Les résultats de cette étude montrent que la transplantation hépatique peut être une solution thérapeutique ultime à discuter au cas par cas par les équipes pluridisciplinaires expertes de la maladie de Wilson, mais cette solution risquée, nécessite une grande collaboration entre hépatologues, neurologues et chirurgiens.

    Neurologue

    "Il s’agit d’une avancée majeure dans la prise en charge thérapeutique de patients qui présentent  une atteinte neurologique sévère de  la maladie de Wilson. Cette démonstration a pu être faite grâce à un effort collectif considérable. Il faut souligner l’implication très forte des équipes de réanimation dans la prise en charge très difficile de ces patients durant la période post opératoire qui peut être très longue" indique le Pr Jean-Charles Duclos-Vallée, Hépatologue au Centre Hépatobiliaire de l’hôpital Paul-Brousse, AP-HP et Coordinateur de la Fédération Hospitalo-Universitaire Hépatinov.

    Sources :
    Liver transplantation as a rescue therapy for severe neurologic forms of Wilson disease. Aurélia Poujois, Rodolphe Sobesky, Wassilios G. Meissner, Anne-Sophie Brunet, Emmanuel Broussolle, Chloé Laurencin, Laurence Lion-François, Olivier Guillaud, Alain Lachaux, François Maillot, Jérémie Belin, Ephrem Salamé, Claire Vanlemmens, Bruno Heyd, Céline Bellesme, Dalila Habes, Christophe Bureau, Fabienne Ory-Magne, Pascal Chaine, Jean-Marc Trocello, Daniel Cherqui, Didier Samuel, Victor de Ledinghen, Jean-Charles Duclos-Vallée, France WoimantFirst published May 12, 2020, DOI: https://doi.org/10.1212/WNL.0000000000009474

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    Julien Gottsmann, Directeur Général de l'Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild, est intervenu sur BFMTV à propos de la situation en cours dans les hôpitaux d'Île-de-France :
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  • "En Île-de-France, tous les secteurs sont mobilisés : AP-HP, hôpitaux publics, cliniques privées mais aussi l'Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild. Le pic épidémique devrait arriver d'ici 3 à 4 jours. Lorsqu'il arrivera, nous devrons certainement faire appel aux autres régions". 

    Julien Gottsmann, Directeur Général de l'Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild

    Revoir l’interview

    L’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild implante le 1er SurgiCube® en France pour les opérations de la cataracte

    Le SurgiCube en ophtalmologie
    C’est le 2 mars qu’ont débuté à l’Hôpital Fondation Rothschild les 1ères interventions de la cataracte dans un SurgiCube®. Cette petite unité d’opération flexible et innovante garantit un air propre au niveau de la zone opératoire et permet de raccourcir le circuit du patient, tout en améliorant son confort.
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  • L’Hôpital Fondation Rothschild est le 1er établissement dans l’Hexagone à se doter de ce système modulaire innovant.

    Le SurgiCube® est un cube opératoire susceptible de remplacer une salle d’opération pour des interventions chirurgicales légères. Il peut être installé de manière simple au sein des établissements.
    "Son principe est celui d’une hotte expulsant un flux laminaire, autrement dit un flux qui va souffler sans aucune turbulence, dans une seule direction, ce qui permet d’avoir de l’air pur sur la zone opératoire", explique le Docteur Christophe Panthier, ophtalmologue au sein de l’Hôpital Fondation Rothschild. Ce flux laminaire permanent est en effet dirigé sur la surface d’opération et la table à instruments.
    Le SurgiCube® est par conséquent particulièrement bien adapté à la chirurgie ophtalmique qui requiert de l’air propre sur une zone opératoire restreinte.

    Pour le patient : une opération plus courte et moins stressante

    Une intervention dans un SurgiCube® ne modifie pas les techniques opératoires habituelles des médecins : « il ne s’agit pas d’une innovation chirurgicale mais d’une innovation organisationnelle », souligne le Dr Christophe Panthier.

    Pour le patient, l’opération dans un SurgiCube® améliore le confort et diminue l'anxiété liée au bloc opératoire des patients : « le ressenti est très différent : ce n’est plus le patient qui va au bloc opératoire mais le bloc opératoire qui vient au patient », précise l’ophtalmologue. Le geste opératoire est dédramatisé et le patient relaxé.

    De fait, il n’a plus besoin de se déshabiller pour se rendre en salle d’opération : une simple sur-blouse est nécessaire, la zone propre ne concernant que le visage lors d’une opération de la cataracte. Son temps de présence à l’hôpital est également réduit : il lui suffit d’arriver une demi-heure avant l’intervention qui ne dure elle-même pas plus de dix minutes. Il peut ainsi quitter l’établissement trente minutes après l’opération.

    Un bénéfice médico-économique et une prise en charge de qualité

    Plus globalement, "l’utilisation du SurgiCube® améliore la fluidité du parcours en raccourcissant les temps inter-bloc (arrivée et installation du patient, désinfection, etc.). Cela induit la notion d’un circuit court en chirurgie de la cataracte, avec une anesthésie topique pure", détaille le Dr Panthier. L’impact économique est notable et renforcé par le fait que le SurgiCube® est également moins coûteux qu’un bloc opératoire, la préparation de ce dernier nécessitant du temps et des efforts importants. Ce circuit court permet en outre de réaliser un plus grand nombre d’interventions dans le même temps.

    Créé et développé aux Pays-Bas au début des années 2000, le SurgiCube® a été validé par les autorités de santé de ce pays où il est utilisé en routine depuis 2006. Il a également été adopté en Belgique et en Espagne. En France, son introduction a eu ainsi lieu le 2 mars 2020 à l’Hôpital Fondation Rothschild, qui sera le premier établissement dans l’Hexagone à se doter de ce système modulaire innovant.

    Sa mise en œuvre est réalisée dans le cadre d’une expérimentation autorisée par l'ARS (Agence Régionale de Santé) qui concernera dans un premier temps les seules opérations de la cataracte et permettra de vérifier le bon fonctionnement du circuit. Les performances seront également évaluées en termes médico-économiques et de qualité de prise en charge. Elles seront comparées aux résultats obtenus en bloc opératoire classique, sur différents critères : temps passé par les patients à l’hôpital, nombre d’interventions réalisées, complications post-opératoires…

    Un système innovant voué à s’étendre à d’autres chirurgies de l’œil

    Après validation du rapport bénéfices - risques, le déploiement devrait être effectué en routine et d’autres types de chirurgies ophtalmologiques, sous anesthésie locale pure, pourraient être réalisés avec cet équipement courant 2020.

    A terme, 4 SurgiCubes® devraient être installés dans une vaste salle du nouveau bâtiment de l’Hôpital Fondation Rothschild dont l’ouverture est prévue en 2025. "L’objectif est d’avoir des unités opératoires distinctes mais non cloisonnées, facilitant les déplacements du personnel paramédical et du matériel d’un cube à un autre", note le Dr Panthier.

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    [DOSSIER DE PRESSE] Épilepsie pharmaco-résistante de l'enfant

    photo épilepsie de l’enfant
    Comment la chirurgie d’excellence guérit l’épilepsie ?
    Prise en charge, traitements et recherche développés à l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild
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  • Neurochirurgie pédiatrique
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  • L'épilepsie, la maladie neurologique la plus répandue en France

    • + de 3000 ans d’histoire
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    La prise en charge de l'enfant épileptique à l'Hôpital

    • Depuis plus de 20 ans, l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild est reconnu au niveau national et international pour son expertise dans l’évaluation et le traitement chirurgical de l’épilepsie pharmaco-résistante de l’enfant, du jeune enfant et de l’adolescent.
    • Des techniques neurochirurgicales de référence
    • Un parcours de bilan préchirugical exhaustif - une prise en charge globale, pluridisciplinaire et individualisée
    • La robotique chirurgicale : une alliée incontournable du chirurgien

    Recherche et formation à l'Hôpital Fondation Rothschild - Une dynamique innovationnelle

    • Le service de neurochirurgie de l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild, acteur engagé dans la recherche
    • Focus sur deux programmes de recherche promus par le service de neurochirurgie de l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild

    Les experts de l'Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild

    L'équipe du Service de Neurochirurgie Pédiatrique - Fédération de Neurophysiologie de l'Hôpital Fondation Rothschild
    • Neuropédiatres/Neurophysiologistes : J. Bonheur, C. Bulteau, M. Chipaux, N. Dorison, M. Fohlen, E. Raffo, S. Rosenberg
    • Pédopsychiatre : A. Tonus
    • Neurochirurgiens : G. Dorfmüller, S. Ferrand-Sorbets, O. Bekaert, V. d’Hardemare

    Dossier de Presse épilepsie pharmaco résistante de l’enfant

    Création de l'association Neuro MAV France

    logo association Neuro Mav France
    Notre hôpital et l’Hôpital Foch ont accompagné et soutenu, par le biais des Centres de Référence constitutifs Maladies Rares (CRMR) des services de Neuroradiologie Interventionnelle, la création d'une association dédiée aux patients porteurs d’une malformation artério-veineuse (MAV) cérébrale ou médullaire et de leurs proches.
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  • Le terme MAV désigne une malformation vasculaire entre les artères et les veines du cerveau ou de la moelle épinière qui agit comme un court-circuit, exposant la personne à un saignement intracrânien ou intra médullaire.

    Cette association se compose aujourd’hui exclusivement de patients ou de proches de patients, tous bénévoles. Ses actions seront d’aider ces personnes à affronter leur maladie, mais également de faire connaître ces pathologies rares auprès des professionnels de santé comme du grand public, et, à terme, de pouvoir soutenir la recherche.

    Pour en savoir plus

    L'Hôpital Fondation Rothschild renforce son offre à l’international

    Direction des affaires internationales
    Avec près de 500 patients internationaux pris en charge chaque année pour des pathologies tête et cou et des projets de développements à l’international, humanitaires ou non, qui se multiplient, l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild, établissement privé sans but lucratif, a décidé de structurer son activité internationale en créant une nouvelle Direction des Affaires Internationales.
    Sous la conduite du Dr Christophe Fernandez, ancien médecin militaire et chef du service médical de l’Elysée, cette Direction a en charge à la fois la prise en charge des patients internationaux, mais également l’ensemble des projets de coopération humanitaire et de développement de l’Hôpital Fondation Rothschild à l’international.
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  • International
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  • Dans le domaine des patients internationaux, l’hôpital peut, outre les activités de son site principal, s’appuyer sur l’ouverture d’un centre de consultation situé métro Argentine (17e arr.), ainsi que sur des accords partenariaux conclus avec le Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon, Gustave Roussy et le Centre Cardiologique du Nord pour proposer une prise en charge globale des patients avec les plus hauts standards de qualité. L’établissement vient également d’ouvrir une unité d’hospitalisation inter-spécialités. Entièrement nouveau, cet espace, qui dispose de 9 lits dans des conditions d’hébergement très agréables, a vocation à accueillir prioritairement les patients internationaux.

    "L’ambition de l’Hôpital Fondation Rothschild dans les prochaines années est d’augmenter chaque année sa patientèle étrangère de 5%. Cette évolution est mesurée, elle représentera moins de 10% de l’ensemble de nos patients afin de tenir compte de la mission première de notre hôpital, à savoir, prendre en charge en secteur 1 tous les patients relevant de la sécurité sociale française" indique Julien Gottsmann, Directeur général de l’Hôpital Fondation Rothschild. Après avoir tissé depuis plusieurs années des liens de confiance avec des pays du Maghreb, du Moyen-Orient et d’Afrique subsaharienne, la volonté de l’Hôpital Fondation Rothschild est de poursuivre l’extension de son rayonnement aux pays de la zone russophone.

    "Hyperspécialisé en ophtalmologie, en ORL et en neurosciences, notre hôpital a d’indéniables atouts à la fois pour des patients internationaux atteints de maladies nécessitant une expertise médicale et chirurgicale de haut niveau et des plateaux techniques de pointe, comme pour les malformations artério-veineuses, les anévrismes, l’épilepsie pharmaco-résistante, ou encore certaines pathologies ophtalmologiques ou pour des patients à la recherche d’actes simples et rapides dans notre pays, mais longs et difficiles à obtenir dans le leur, comme par exemple l’opération de la cataracte, la chirurgie réfractive ou un check-up complet en ophtalmologie ou en neurologie" précise le Dr Christophe Fernandez. Parallèlement, la stratégie de développement à l’international s’accompagne d’une accentuation des programmes de coopération humanitaire médicale, de collaborations dans le domaine de la formation et d’échanges universitaires, mais également de conseil en organisation. Ces projets sont principalement développés avec l’Afrique francophone, et ont vocation à s’étendre à d’autres régions.

    Le Dr Christophe FERNANDEZ, directeur des affaires internationales, est à votre disposition pour vous apporter tout renseignement complémentaire et vous proposer notamment une visite de la nouvelle unité d’hospitalisation de l’Hôpital Fondation Rothschild.

    Contact Direction des affaires internationales : 01 48 03 63 00 - Par mail 

    À propos l’Hôpital Fondation Rothschild

    Situé au cœur du 19e arrondissement de Paris, l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild est un hôpital universitaire créé en 1905, spécialisé dans toutes les pathologies de la tête et du cou : ophtalmologie, neurologie, ORL… des adultes et des enfants. Cet hôpital sans but lucratif est un établissement de santé privé d’intérêt collectif (ESPIC). Il propose une prise en charge d’excellence en secteur 1 et assure, chaque année, plus de 400 000 consultations et actes techniques et plus de 45 000 passages aux urgences ophtalmologiques. Disposant de plateaux techniques de dernière génération et d’experts reconnus au niveau mondial, les services de l’Hôpital Fondation Rothschild apparaissent régulièrement en tête des
    classements des meilleurs hôpitaux français. Assurant le continuum soins, recherche et formation, l’Hôpital Fondation Rothschild pilote plus de 150 études de recherche clinique, publie plus de 200 articles scientifiques par an et forme chaque année près de 700 étudiants. Reconnue d’utilité publique, l’Hôpital Fondation Rothschild est habilité à recevoir des dons et des legs. www.for.paris

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    CP offre international UK

    Contacts Presse

    Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild
    29 rue Manin 75019 Paris    
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